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Pallatanga Festival 

 

 Des étudiants mettent en scène le rock belge pour soutenir un projet en Equateur.

 

 

Dans la région de Pallatanga, des paysans tentent de reconvertir leur agriculture. Ils ont découvert, grâce à l’expertise des îles de Paix, que la Cordillère des Andes offre le biotope idéal pour cultiver la mûre. Un fruit qui s’exporte facilement et à bon prix. Mais la reconversion durable coûte et il faut former les paysans à cette culture. Apprendre à obtenir un rendement maximal en semant au bon moment, en taillant habilement : la formation coûte entre 300 et 400 dollars. À louvain-la-neuve, six étudiants, anciens du lycée Martin V, se sont promis de réunir 8000 euros pour soutenir l’opération. Leur projet est né il y a un peu plus d’un an. L’un d’entre eux, Simon Bourgeois, connaît bien l’équateur où il a passé un an au sortir de sa rhéto. « Durant ce voyage, raconte Simon, j’ai rencontré un représentant des îles de paix et cela a changé ma vision de l’aide aux pays en voie de développement. Alors, quand on a monté le projet on s’est naturellement  tournés  vers les îles de paix, j’ai vu leur travail, je leur fait confiance. »

Ce mercredi, pour réunir des fonds, la bande des six propose à la ferme du biéreau un mini festival avec The Red Flowers, Balimurphy, Puggy, et Peace Project. Entre chaque concert, des power points donneront un aperçu du projet mis en place. Les organisateurs espèrent réunir entre 500 et 600 personnes.

 

C.Fi

 

D’après le journal « Vers l’avenir »

 

Mercredi 30 avril 2008



 


 Une Chica au pays des Ticos

(extrait de femmes d’aujourd’hui, 17 avril 2008, texte Anne Deflandre)


Jungles profondes, plages langoureuses, volcans mystérieux et zoo en plein air… difficile de faire mieux que le Costa Rica. Un véritable paradis terrestre en Amérique centrale, à découvrir pour au moins quatre raisons…


La biodiversité est à couper le souffle

 

Le pays n’est pas bien grand (à peine plus étendu que la Suisse). Pourtant, il abrite l’une des plus grandes variétés de plantes et d’animaux du monde. Il faut dire que sur quelques centaines de kilomètres, on trouve un nombre impressionnant d’écosystèmes différents : volcans, rivières, forêts sèches, humides, plages… Pas étonnant dès lors qu’on y voie beaucoup d’animaux. Parmi les espèces le plus couramment observées : singes, paresseux, iguanes, lézards, grenouilles, papillons ainsi que plus de 850 espèces d’oiseaux.

Mais il faut être patient, car l’œil du touriste lambda n’est pas habitué à dénicher la vie au milieu de la végétation luxuriante. C’est donc de préférence en compagnie d’un guide qu’on se baladera, pour avoir l’œil attiré, soit par un singe hurleur (qui répond d’ailleurs, quand on imite son cri), soit par un paresseux bien camouflé sur une branche, un toucan ou encore un iguane paressant dans le feuillage.